Ministère de la Santé et des Services sociaux

Information pour les professionnels de la santé

Dépistage du cancer du col de l'utérus

À propos

Les lignes directrices sur le dépistage du cancer du col utérin au Québec Ce lien ouvre une nouvelle fenêtre. ont paru en 2011 dans un rapport de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ). Depuis plusieurs décennies, ce dépistage se fait de manière opportuniste grâce au test de Papanicolaou sur frottis cervical (test Pap). Les études ayant démontré que la quasi-totalité des cancers du col de l'utérus a pour origine une infection du col par des virus du papillome humain (VPH) transmis sexuellement, et un test de détection de ces virus ayant été mis au point (test VPH), l'Institut national d'excellence en santé et services sociaux (INESSS) publiait, en 2017, un rapport de comparaison des stratégies de dépistage du cancer du col de l’utérus avec le test de détection des virus du papillome humain (test VPH) ou la cytologie gynécologique (test Pap) Ce lien ouvre une nouvelle fenêtre. et, en 2022, des recommandations pour l’implantation du test VPH comme test de dépistage primaire Ce lien ouvre une nouvelle fenêtre. en remplacement du test Pap comme premier test à réaliser (test primaire ou de première intention) dans le dépistage du cancer du col de l’utérus.

Le 31 mai 2022, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, annonçait que le test VPH serait implanté comme test de dépistage primaire du cancer du col de l'utérus suivant les recommandations de l’INESSS.

Dernière mise à jour : 21 novembre 2023, 16:32

Sondage

Nous aimerions recueillir vos impressions sur cette section et en apprendre davantage sur vos habitudes d'utilisation.

Répondre Répondre plus tard
Haut de page