Ministère de la Santé et des Services sociaux
Salle de presse du ministère de la Santé et des Services sociaux
Réaction au dépôt du rapport de la Commission spéciale sur l’évolution de la Loi concernant les soins de fin de vie
Québec, le 8 décembre 2021
Le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, remercie la Commission spéciale pour le dépôt de son rapport sur l’évolution de la Loi concernant les soins de fin de vie.
Rappelons qu’il s’agissait d’une initiative transpartisane qui visait à aborder les enjeux liés à un élargissement de l’admissibilité à l’aide médicale à mourir pour les personnes en situation d’inaptitude et les personnes souffrant d’un trouble mental. La Commission spéciale, constituée au printemps dernier, était composée de 11 membres élus de l’Assemblée nationale, dont six députés du gouvernement et cinq députés issus des groupes d’opposition.
Citation :
« Je me réjouis du dépôt de ce rapport dont les conclusions étaient très attendues. Nous allons prendre connaissance de ce qu’il propose avec grand intérêt, afin de tirer les conclusions nécessaires quant à l’élargissement de l’admissibilité à l’aide médicale à mourir, de manière cohérente avec les valeurs des Québécoises et des Québécois et des enjeux éthiques soulevés par ces questions. »
Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux
Faits saillants :
- Rappelons que, dans le cadre des travaux de cette commission spéciale, une première phase de consultations particulières et d’auditions publiques a permis d’entendre des experts qui ont tracé un portrait des enjeux entourant l’admissibilité à l’aide médicale à mourir pour les personnes en situation d’inaptitude et pour les personnes souffrant d’un trouble mental.
- Une deuxième phase de consultations particulières et d’auditions publiques a permis d’entendre des organismes et des citoyens, dont les témoignages et recommandations ont été riches en réflexion pour le comité directeur.
- Une consultation en ligne auprès des citoyens a permis de saisir l’opinion et les attentes de la population quant à l’élargissement de l’admissibilité à l’aide médicale à mourir.