Laval, le 15 novembre 2012

Le ministre de la Santé et des Services sociaux et ministre responsable des Aînés, le docteur Réjean Hébert, a participé aujourd’hui au Rendez-vous des dirigeants du réseau de la santé et des services sociaux, où il a présenté ses priorités dans le but de mieux répondre aux besoins de la population québécoise.

 « Pour notre gouvernement, le choix a toujours été clair. Le développement d’une première ligne de soins forte et accessible, entre autres par une hausse du nombre de groupes de médecine de famille et l’ajout de ressources, ainsi que par la nécessaire adaptation du réseau à la réalité du vieillissement de la population, sont au sommet de notre liste de priorités. Cette adaptation se fera notamment par les soins et les services à domicile de même que par la mise en place d’une assurance autonomie », a déclaré le docteur Hébert.

Figurent également au rang des priorités du ministre, la mise en œuvre des recommandations de la Commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité, l’adoption d’une politique nationale de prévention, ainsi que le dossier jeunesse, particulièrement en regard du maintien des enfants dans leur milieu familial.

Améliorer l’efficience des soins et des services aux patients

Le ministre de la Santé et des Services sociaux en a également profité pour préciser sa pensée sur l’atteinte des objectifs de performance et d’efficience des soins et services aux usagers pour tous les établissements du réseau. « Je salue la mobilisation du personnel du réseau et les efforts déployés dans le cadre des différents projets d’optimisation. Certes, des gains ont été réalisés, mais les objectifs en matière d’efficacité et d’accessibilité sont toujours d’actualité. C’est pourquoi ces efforts soutenus méritent d’être renforcés au cours des prochaines années », a fait savoir le ministre Hébert.

Pour ce faire, le docteur Hébert a annoncé que le Ministère soutiendra une seconde vague de projets d’optimisation dans les établissements.

« Nous devons penser à plus long terme et centrer cette deuxième phase sur une démarche de développement de l’expertise au sein même du réseau, et ce, afin d’assurer la pérennité des méthodes novatrices de gestion dans les établissements et réduire ainsi les dépenses encourues. C’est l’ensemble de ces actions qui permettra à notre réseau d’optimiser sa performance et de continuer à offrir des soins et des services de grande qualité à la population québécoise », a conclu le ministre.

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