Ministère de la Santé et des Services sociaux
Salle de presse du ministère de la Santé et des Services sociaux
Le ministre Stéphane Bergeron annonce l’ajout de deux lits à l’unité de néonatologie du Centre de santé et de services sociaux de Gatineau
Québec, le 13 décembre 2013
Le ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de l’Outaouais, monsieur Stéphane Bergeron, a annoncé aujourd’hui, au nom du ministre de la Santé et des Services sociaux et ministre responsable des Aînés, le docteur Réjean Hébert, l’ajout de deux lits à l’unité de néonatologie du Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de Gatineau. Cet ajout, qui fait passer le nombre de lits de l’unité de 10 à 12, s’inscrit à la suite d’un important rehaussement dont elle vient de faire l’objet.
En effet, c’est une somme de 750 000 $ qui a récemment été investie pour rehausser l’unité de néonatologie du CSSS de Gatineau. De cette somme, 150 000 $ ont été investis par la Fondation Santé Gatineau pour financer le remplacement de douze moniteurs physiologiques. L’Agence de la santé et des services sociaux de l’Outaouais a pour sa part investi 250 000 $ pour rénover les locaux, notamment par des travaux de plomberie et d’électricité, alors que le ministère de la Santé et des Services sociaux a accordé une somme de 350 000 $ pour l’achat d’appareils spécialisés, tels que des incubateurs, des pompes à perfusions, des appareils à ventilation non invasive et de l’équipement de photothérapie.
De plus, le Ministère allouera au CSSS de Gatineau un budget de fonctionnement annuel supplémentaire pouvant aller jusqu’à 500 000 $ pour répondre à l’augmentation des activités dans le secteur de la néonatologie.
« Cet investissement s’inscrit dans un plan d’action découlant de la Politique de périnatalité 2008-2018. Notre gouvernement est résolu à améliorer les services de néonatologie, et ce, à l’échelle de tout le Québec, notamment dans des centres à vocation régionale comme l’Hôpital de Gatineau. De cette manière, moins de nouveau-nés doivent être transférés dans des centres surspécialisés. Et s’il doit y avoir un tel transfert, par exemple dans les unités de soins intensifs de néonatologie d’Ottawa ou de Montréal, le bébé pourra revenir plus rapidement dans la région, une fois sa condition stabilisée. En somme, davantage de nouveau-nés pourront recevoir des services spécialisés dans le milieu de vie de leur famille », a fait savoir le ministre Hébert.