Ministère de la Santé et des Services sociaux
Information pour les professionnels de la santé
Statistiques de santé et de bien être selon le sexe - Tout le Québec
Taux des années potentielles de vie perdues selon la cause
Taux ajusté1 des années potentielles de vie perdues2, selon la cause et selon le sexe, Québec, 2012
Tumeurs | Appareil circulatoire | Appareil respiratoire | Appareil digestif | Causes externes | Total | |
---|---|---|---|---|---|---|
Femme | 1 700 | 361 | 156 | 92 | 508 | 3 696 |
Homme | 1 753 | 936 | 199 | 179 | 1 398 | 5 522 |
Moyenne | 1 724 | 648 | 177 | 136 | 959 | 4 612 |
Afficher le tableau des données
Source : Ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS). Taux des années potentielles de vie perdues selon les grands regroupements de causes. Mise à jour le 1er mars 2017. Rapport de l’onglet Plan national de surveillance produit par l’Infocentre de santé publique à l’Institut national de santé publique. (Consulté le 16 mai 2017).
1 - Taux pour 100 000 personnes de 0-74 ans, standardisées selon la structure par âge, sexes réunis, de la population de l’ensemble du Québec en 2011.
2 - L'indicateur d'années potentielles de vie perdues (APVP) estime le nombre d'années de vie perdues en raison des décès considérés prématurés. Il se calcule en faisant la somme des différences entre l'âge de 75 ans et l'âge des personnes décédées, pour tous les décès survenus avant l'âge de 75 ans. En donnant plus de poids aux décès survenant aux jeunes âges, les APVP fournissent une synthèse de l'importance relative des causes de mortalité prématurée.
Faits saillants
En 2012, au Québec, tant chez les femmes que chez les hommes, les principales causes d’années potentielles de vie perdues sont les tumeurs (1 724 pour 100 000 personnes), les causes externes (959 pour 100 000 personnes) et les maladies de l’appareil circulatoire (648 pour 100 000 personnes).
Femmes
- Les femmes présentent un taux ajusté des années potentielles de vie perdues moins élevé que celui des hommes, et ce, pour l’ensemble des causes (3 696 pour 100 000 femmes et 5 522 pour 100 000 hommes).
- Les écarts les plus importants entre les femmes et les hommes relativement au taux ajusté des années potentielles de vie perdues concernent en premier lieu les causes externes (2,8 fois moins élevé chez les femmes) et en second, les causes associées aux maladies de l’appareil circulatoire (2,6 fois moins élevés chez les femmes).
Hommes
- Les hommes présentent un taux ajusté des années potentielles de vie perdues plus élevé que celui des femmes pour l’ensemble des causes (5 522 pour 100 000 hommes et 3 696 pour 100 000 femmes).
- Les écarts les plus importants entre les hommes et les femmes relativement au taux ajusté des années potentielles de vie perdues concernent en premier lieu les causes externes (2,8 fois plus élevé chez les hommes) et en second, les causes associées aux maladies de l’appareil circulatoire (2,6 fois plus élevé chez les hommes).
Dernière mise à jour : 19 février 2018, 16:40